Au cours de mes recherches, je me
suis aperçu qu’une personne que je
côtoyais fréquemment, avait écrit un
livre sur les vignerons d’Huriel. Au travers de cet ouvrage,
ce passionné a voulu rendre hommage, je le cite : « à
une corporation paysanne méritante, attachante, et surtout
injustement oubliée par tous ceux qui, à travers
les recherches historiques, s’applique à fixer la
mémoire de notre belle province Bourbonnaise ».
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[…] Le ban des
vendanges n’existe plus dans l’Allier depuis le 14
septembre 1870 en vertu de cette note du Préfet Victor
Cornil aux maires :
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[…]
Généralement, trois mois «
après la fleur de lys » ,
après avoir
« aberré » cuve et
bigorres, et après que le tonnelier eut
« argiaulé » les tonneaux,
le jour des vendanges pouvait arriver. |
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Étaient-ils
à peine pleins, qu’on interpellait le porteur de
benne : « Hé, la benne …
». Le contenu de celle-ci était
déversé dans les bigorres et le porteur
recommençait sa navette. Le soir les «
arlanges » lui avaient blessé les
épaules. |
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Merci à M. Bernard Duplaix |